D.H. Lawrence
Quand on sort de la bouteille de verre qu’est le moi
qu’on prend la fuite
comme des écureuils dans la cage de notre personnalité
et qu’on revient dans la forêt, on va trembler
de froid, de peur.
Mais des choses vont nous arriver.
Si bien qu’on ne se connaîtra pas.
Fraîche, franche, la vie va se précipiter
et la passion rendra nos corps tendus de pouvoir.
On se mettra à rire, et
les institutions se recroquevilleront comme papier brûlé.